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La Question de l'identité européenne
par Jean-Luc Lefèvre d’Emptinne

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Unknown.jpeg"Les populismes sont de retour, et avec eux, les replis sécuritaires. Partout, le vivre – ensemble est remis en question...

La faute à la crise ? Pas seulement ! À l'école, dans les media, dans les salons feutrés du Pouvoir, partout, nous avons trop longtemps conjugué nos identités en termes de différences. Aujourd'hui, nous sommes dos au mur. Le moment est venu de dire stop aux communautarismes de tout poil, de revendiquer, au-delà de nos différences, sans pour autant les brader, une même appartenance culturelle. Derrière les braises, avant qu'elles refroidissent, retrouvons l'essence de notre bois. Qui sont ces Européens que nous prétendons devenir sans savoir d'où nous venons ? L'ouvrage s'adresse à tous les passeurs de culture, à tous les relais d'opinion, à tous les faiseurs d'opinion... avant qu'il ne soit trop tard, avant le naufrage de la vieille Europe"...

DSC_0030.jpgRetrouvez des extraits de ce livre en cliquant sur  livre.php?isbn=9782342014891

Historien de formation, directeur d'un collège et d'un lycée en Belgique, président de deux associations européennes de responsables scolaires, Jean-Luc Lefèvre a toujours été convaincu de la dimension européenne de l'éducation. Aujourd'hui retraité, il fait part de ses convictions…

En pratique

Genre : Essais
ISBN : 9782342014891 - 64 pages - 13,95 €

Ce livre est disponible à la vente au format papier et au format numérique (PDF).

Pour vous le procurer :

-       au format papier, sur le site Internet de Mon Petit Editeur, en cliquant sur livre.php?isbn=9782342014891 ou en librairies, sur commande

-       au format numérique, sur le site Internet de Mon Petit Editeur en cliquant sur livre.php?isbn=9782342014891

-       Pour plus d'informations contactez-nous par e-mail : commande@monpetitediteur.com.


Des écoliers témoignent lors de la célébration de l’Armistice à Ciney

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DSC_0001.JPGBeaucoup de monde cette année pour la traditionnelle commémoration du 11 novembre à Ciney, la météo, favorable n’a pu qu’encourager une telle démarche citoyenne. Depuis quelques années, des enfants (ils étaient moins nombreux au total par rapport à d’autres années, qu’une petite vingtaine) de 5e et 6ede l’école communale sont invités à témoigner. Cette année, ils ont lus un petit poème qui les avait touchés en terminant «qu’en ce 11 novembre, nous pensons aux personnes, aux nombreux soldats morts pour la patrie. Ils sont morts pour notre liberté. Souvenons-nous d’eux ». Avant le discours du bourgmestre, chaque enfant présent à déposer une rose au pied du monument aux morts de l’église des Capucins. 

Notons la présence de 7 musiciens du Cercle Instrumental pour rehausser cette cérémonie, malgré la célébration, la veille, de Sainte Cécile à la Concordia à Natoye.

DSC_0004.JPGVoici l’intégralité du discours prononcé par Jean-Marie Cheffert, bourgmestre :

«C’est ici, devant le monument, que comme chaque année, nous commémorons l’Armistice du 11 novembre 1918 en rendant hommage aux victimes, civiles et militaires, de tous les conflits auxquels notre pays a pris part. Car, si l’Europe est aujourd’hui en paix, il y a eu bien d’autres conflits, trop nombreux, dans le monde et bien d’autres barbaries, et nous rendons hommage à ceux qui sont morts pour notre patrie, du soldat de la première guerre au casque bleu d’aujourd’hui, à tous ceux qui ont défendu, quelque part dans le monde, une paix si difficile, mais si nécessaire à préserver.

En ce 11 novembre, nous commémorons, comme partout en Belgique, devant chaque monument et nous nous unissons pour célébrer notre liberté et accomplir notre devoir de mémoire.

DSC_0002.JPGLa symbolique de cette date n’est pas à démontrer. En 1918, après 4 longues et terribles années, le 11 novembre, à 11h, la fin des combats était annoncée, mettant un terme à une guerre effroyable qu’on nommera par la suite la Grande Guerre. Ce jour-là, vers 5h du matin, l’Armistice était signé par les généraux allemands et alliés dans un wagon de chemin de fer en forêt de Compiègne, dans la clairière de Rethondes. A 11h, le cessez-le-feu était effectif. Il entraînait des volées de cloches et de sonneries annonçant la fin de 4 ans de souffrance et de massacres. La Grande Guerre devait être la der des ders, nous en étions, hélas, bien loin. Si l’expression est aujourd’hui communément utilisée, elle a perdu tout son sens puisque, depuis lors, nous avons la seconde guerre mondiale, le plus vaste conflit armé que le monde ait connu. Nous avons eu aussi la guerre de Corée, du Vietnam, d’Algérie, du Golfe, du Kippour et plus près de chez nous, en Yougoslavie, puis des conflits encore en Tchétchénie, au Kosovo, en Irak, en Afghanistan, au Zaïre, au Darfour, mais encore la révolution des œillets, le génocide au Rwanda, le printemps arabe, les attentats terroristes, autant de noms qui cachent la même violence, les mêmes atrocités, …

Faut-il désespérer ? On pourrait le penser. Combien de morts faudra-t-il encore pour que nous comprenions ? Aurons-nous un jour compris ? On ne peut s’empêcher d’en douter. Et pourtant, aujourd’hui, ici, à Ciney, en Belgique, en Europe, nous avons le sentiment de vivre en paix. Depuis la réconciliation franco-allemande, à l’issue de la seconde guerre mondiale, l’Europe a en effet pu empêcher les conflits en cadenassant paix et démocratie dans les traités. Par ses élargissements successifs à de nouveaux états et par le biais d’une politique commerciale et humanitaire, la paix tend également à s’étendre aux états voisins. Pour toutes ces raisons, l’Union européenne s’était vue attribuer le prix Nobel de la paix en 2012, «pour avoir contribué pendant plus de six décennies à promouvoir la paix et la réconciliation, la démocratie et les droits de l’homme en Europe » avait annoncé le comité Nobel. Une récompense qui, à elle seule, donne à l’Europe toute sa raison d’exister et fait de nous, Européens, un peuple privilégié, à l’abri des tragédies qui encombrent l’histoire du monde. Au-delà du souvenir d’une lointaine époque tragique, c’est donc un message de paix que nous devons adresser aux jeunes générations. Un message de paix, mais aussi une mise en garde. Un rappel de la fragilité de notre vie en paix qui doit nous inciter à continuer à commémorer, à rendre hommage, à ceux qui nous ont permis de la retrouver et à prendre conscience que c’est à nous, maintenant, qu’il revient d’œuvrer pour la maintenir, à nous mais aussi à ceux qui nous suivront et nous avons le devoir de les avertir, que l’ennemi, ce n’est pas tel peuple, telle race ou telle ethnie, l’ennemi, c’est l’’exclusion, c’est l’extrémisme, et il faut sans arrêt s’en défier en défendant les valeurs que sont la tolérance, l’acceptation des différences et le respect des règles, d’une manière générale.

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En ce 11 novembre, ayons une pensée pour tous les anciens qui firent notre histoire par leur courage, pour tous ceux qui se sont sacrifiés pour notre liberté, mais ayons aussi une pensée pour tous ceux qui, dans d’autres pays, parfois si lointains, vivent actuellement d’autres conflits armés. Je vous remercie, vous tous qui, par votre présence, ayez marqué votre intérêt pour le travail de mémoire et votre respect pour nos aînés. Je remercie particulièrement les enfants des écoles qui nous ont rejoints. Que notre rassemblement devant ce monument reste symbole de notre désir de vivre en paix. Vive la Belgique, vive Ciney, vive le Roi."

Une cinquantaine d’enfants présents lors de la célébration de l’Armistice à Hamois

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DSC_0005.JPGCette année, c’était au tour du village de Hamois, à organiser la traditionnelle commémoration de l’Armistice dans la commune. Le beau temps, le travail des enseignants et des bénévoles de la Maison de la Mémoire font, que depuis quelques années, les gens, et particulièrement les plus jeunes, sont de plus en plus présents lors des célébrations patriotiques. On pouvait compter sur la présence de plus d’une cinquantaine d’enfants des écoles communales de l’entité ainsi que d’autres venus avec leurs parents.  Ils ont d’abord chanté la Brabançonne avec leurs enseignants et le nombreux public présent avant le traditionnel dépôt de gerbes.

DSC_0008.JPGVoici l’intégralité du discours prononcé par Luc Jadot, bourgmestre, à cette occasion :

«Les dates anniversaires sont propices pour se remémorer des événements historiques. Alors que le centenaire du début du premier conflit mondial approche, notre commune s’investit pleinement dans cette dynamique mémorielle riche de sens. Les historiens de la Grande Guerre ne cessent de souligner le caractère inaugural de ce conflit, véritable matrice du 20e siècle et de ses violences extrêmes qui ont entraîné la mort de milliers de personnes. Les pratiques de violence sur les champs de bataille ont dépassé toutes les limites de l’entendement. Le prix attaché à la vie humaine s’est effondré entraînant un processus de brutalisation sans précédent. La Belgique, dont la neutralité a été violée, pays envahi qui ne connût que le front et les territoires occupés, a vécu une guerre différemment des autres belligérants. Elle a connu l’horreur des tranchées, avec la guerre chimique due à l’ypérite, mais aussi les massacres de quelques 6.000 civils en août 14, la destruction des villes de Dinant, Andenne, Louvain, Tamines et bien d’autres, la faim et le pillage systématique d’un pays occupé.

DSC_0006.JPGLes commémorations de 14-18 seront l’occasion d’affirmer des valeurs telles que la démocratie, la solidarité, la résistance, l’oppression et notre attachement aux libertés fondamentales. Ces commémorations poursuivent des objectifs de sensibilisation du grand public, l’approfondissement des connaissances historiques et des transmissions aux futures générations.

La présence massive des enfants, lors des commémorations du Relais Sacré la semaine dernière est la preuve qu’il existe déjà une sensibilisation visant à établir un lien dynamique entre le passé et le présent. Le plan d’action mis en place par notre commune et la Maison de la Mémoire veut rendre compte dans sa globalité de l’expérience du conflit vécu par les populations entraînées dans cette guerre totale, impliquant autant les civils que les combattants.

Dès à présent, nous vous invitons à découvrir la première exposition qui débutera le 29 novembre 2013 à l’OCTC de Hamois. Le thème de cette exposition sera la Belle Epoque, époque d’insouciance, qui a précédé le premier conflit mondial. Vous découvrirez que les germes et les signes avant coureurs de la première guerre étaient déjà bien présents en ce début du XXe siècle.

Qu’il me soit permis de remercier les associations patriotiques, les écoliers et le personnel enseignant, les militaires et la population, pour leur présence, signe d’attachement à la patrie et au devoir de mémoire. Honneur et gloire à nos héros. Vive la Belgique, vive le Roi. »

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Triste nouvelle vie pour le kiosque de Ciney selon la locale Ecolo !

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Aperçu de la Place Monseu à Ciney,avec son kiosque et sa Collégiale.jpgLors du conseil communal de Ciney de ce lundi 4 novembre, un point concernait l'aménagement du kiosque de la place Monseu. Le projet présenté hier, sans aucune esquisse, prévoit d'installer une fontaine sur le kiosque, de placer du gazon synthétique autour du kiosque et de replanter des arbres.

ECOLO Ciney a voté contre ce projet. Voici leur communiqué de presse concernant leur point de vue.

"Nous déplorons qu'aucune présentation globale des aménagements de la place Monseu n'ait été réalisée. Ce sont au final 4 projets sans envergure, ponctuels et sans aucune vision globale, qui ont été présentés ces derniers mois par le Collège, sans que les objectifs des différents aménagements ne soient clairement énoncés. Comment dès lors aménager adéquatement l'espace et apporter une réelle valeur ajoutée pour ce quartier ?

Nous notons également que ce projet démarre sans aucune consultation. La population n'a pas été consultée sur l'ensemble des aménagements. De même, aucune demande d'avis n'a été adressée à la Commission Consultative de l'Aménagement du Territoire et de la Mobilité.

Outre le manque de consultation et de projet global, nous émettons de vives réserves sur le projet en lui-même.

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Dans le contexte budgétaire actuel difficile, où le Collège fait des économies sur tout, la dépense de 35.000 € nous parait totalement inutile et déplacée. Le kiosque en lui-même n'a pas besoin d'un aménagement particulier.

Aucun contact n'a jusqu'ici été pris avec les Monuments et Sites pour valider la faisabilité du projet. Or, le site étant classé, c'est une étape primordiale.

D'un point de vue esthétique le fait de planter des arbres autour du kiosque risque bien de le cacher plutôt que le mettre en valeur. Enfin, nous nous interrogeons sur la pertinence de mettre du gazon synthétique au pied du kiosque : cette solution nous parait coûteuse et inadaptée au site.

ECOLO Ciney souhaite, pour ce joyau de la ville, une nouvelle vie plus respectueuse de son caractère historique reconnu, au coeur d'un projet cohérent de rénovation générale de la place Monseu. Un projet qui tienne compte des richesses patrimoniales du site, des besoins de la population et ajoute ainsi une réelle plus-value à notre ville."

Emily Hoyos coprésident d'Ecolo a rendu visite à ces amis cinaciens lors de la distribution des petits fruitiers

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DSC_0003.JPGEcolo était présent ce week-end dans 133 communes pour y distribuer à chaque endroit 200 plants de petits fruitiers (groseilliers, cassissiers, framboisiers). L’événement s’est déroulé notamment samedi matin, à Ciney, place Monseu, sur le kiosque (pas de polémique avec la majorité puisqu’il avait été retenu avant le conseil communal du 4 novembre où il avait été question d’un nouvel aménagement qu’Ecolo a critiqué) et dimanche matin devant le domicile d’Auguste Carton à Emptinne pour la section Ecolo de Hamois.

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Emily Hoyos coprésident d'Ecolo a fait le déplacement à Ciney pour rencontrer ces amis cinaciens et les encourager dans leurs différentes actions. Symboliquement, chaque personne qui recevait un plan de petits fruitiers apposait une pastille verte sur la carte de la commune de Ciney afin de visualiser les endroits de plantation. Chacun pouvait également repartir avec deux brochures, l’une évoquant les circuits courts en alimentation et l’autre « manger de saison, c’est bon ! ». 

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Les Verts réclament des meilleurs trains du dimanche soir pour les étudiants

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Les étudiants navetteurs ont signé à Ciney et Jemelle une carte postale à destination de Saint Nicolas et du nouveau patron de la SNCB

Havelange aujourd’hui : quels enjeux pour demain ?

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Les Havelangeois sont invités le mercredi 11 décembre à la Ferme des Tilleuls à 20h

LA PLACE MONSEU à Ciney : coeur d'une ambition ou cour de récréation pour Ecolo ?

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PLACE MONSEU005.jpgEcolo Ciney tient, à la veille de Noël, à clarifier les choses au sujet de l'aménagement de la place Monseu et revient sur le projet de l'ancienne majorité, aujourd'hui abandonné par l'actuelle majorité. Voici, en intégralité, leur communiqué de presse.

" Notre place Monseu est un lieu emblématique du paysage cinacien. Patrimoine de tous, elle est aussi appelée à être le coeur de la vie dans notre cité, un lieu attractif et convivial au service du développement culturel, touristique, économique de notre commune.

Aménager la place Monseu, c'est construire l'avenir de Ciney. Encore faut-il ne pas gâcher une formidable opportunité. Retour sur une polémique, mais surtout sur un projet qu'Ecolo croit encore possible.

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Rétroacte et vérité

Bien avant avril 2010, des branches de marronniers s’écrasent régulièrement sur le sol de la place Monseu. Le risque est permanent ; les arbres sont malades et à terme devront être abattus. Pour éviter un accident, le Collège communal, sur la base d'avis circonstanciés de professionnels, décide de tout couper en urgence. C’était sans imaginer que le 14 juillet 2010 le ciel nous tomberait sur la tête... Prémonitoire ? Constatant que l'abattage a été réalisé sans prendre le temps d'une procédure d'autorisation, le fonctionnaire délégué de la Région wallonne s’engage à octroyer le permis d’abattage lorsque de nouvelles plantations seront réalisées. Vu l'importance du lieu, le Collège décide toutefois de réfléchir à un plan de revalorisa- tion de l'ensemble de l’espace de la place et de ses abords avant de procéder à de nouvelles plantations.

La procédure

Un appel d’offres est alors lancé afin de désigner un auteur de projet pour l’étude et le suivi des travaux de revalorisation de la place et de ses abords.

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Le projet est défini avec l'aide de la Province et d'un paysagiste de renommée internationale : replantation d’arbres renforçant la matérialisation des anciens remparts, amé- nagement de zones de terrasses, réaménagement de la zone de bus, réalisation des voiries, lien entre la rue du Centre et la place, mobilier urbain et élaboration d’un plan de circulation et de stationnement... La mise en lumière doit également être revue pour offrir une vision cohérente, notamment avec la Place Léopold qui vient d’être refaite. La zone d’intervention concerne donc la cour Monseu – le centre de la place récemment renouvelé ne devait pas être impacté –, la rue des Héros, la ruelle Saint Eloi, la rue du XI Février et une liaison à créer avec la rue Notre-Dame de Hal pour rejoindre le futur long point de l’Avenue de Namur.

Le site étant classé, l’auteur de projet était chargé de mener à bien la procédure de certificat de patrimoine en tenant compte des fouilles qui devaient avoir lieu derrière le kiosque avant la fin des travaux. Il devait aussi présenter des alternatives de parking puisque l’objectif à terme était de le supprimer sur la place proprement dite.

Il était alors prévu que les travaux puissent être phasés en plusieurs années à concurrence d'un budget total de 1.800.000 euros HTVA. Des subsides devaient bien entendu être sollicités pour diminuer la facture communale.

Le Conseil communal, en sa séance du 23 mai 2011, approuve le cahier spécial des charges relatif à l’étude à l’UNANIMITE. Conscient de l'enjeu qu'est l'avenir de la place Monseu, le MR, alors dans l'opposition, vote donc en faveur du projet tel que décrit ci- dessus.

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Le projet abandonné par la nouvelle majorité

C’est le bureau d’études JNC International qui emporte le marché dans le respect des conditions financières. Son projet est ambitieux, multifonctionnel, esthétique, appropriable et renforce la valorisation historique de l’espace. Par des effets de cadrage, il offre de belles perspectives sur le kiosque et la collégiale. Il suggère d’intégrer l’art dans la ville en laissant la place à des sculptures de vaches destinées à devenir un symbole de la ville. Les quelques photos ci-jointes permettent partiellement de se représenter les premières esquisses de ce projet global.

Le bureau d’études s’engage à susciter avant chaque phase la participation de la population au projet en vue de son appropriation par les citoyens. Deux réunions de travail ont eu lieu avant les élections d’octobre 2012. Le relais est ensuite passé au nouveau Collège qui décidera simplement que le projet proposé est trop cher.

D’un coût « démesuré », ce projet destiné à rendre le centre historique de la cité plus beau, attractif et convivial ? A titre comparaison, la majorité MR a décidé d’inscrire 500.000 euros au budget 2014 pour des installations de football, et 120.000 euros pour des caméras de surveillance... Question de priorités...

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Une ambition pour Ciney

Pour Ecolo, en charge de l’urbanisme entre 2006 et 2012, le réaménagement de la place Monseu valait bien un investissement digne de son importance et permettant sa réelle mise en valeur. Ce lieu central pour Ciney que bordera la Maison du tourisme Famenne-Condroz est pour l’instant un vulgaire parking désorganisé très peu attractif, sauf pour les personnes qui résistent à marcher quelques pas pour rejoindre leur commerce ou leur établissement favori.

A nos yeux, il devrait devenir un vrai point d'attraction tant pour les Cinaciens que pour les visiteurs et les touristes. Un espace ouvert, partagé, convivial, esthétique... au service de l'attrait et du développement de notre commune comme centre urbain, commercial et touristique au coeur du Condroz.

On ne refait pas une place, ni un coeur de ville tous les 20 ans. Il n'est pas trop tard pour renouer avec l'ambition portée par Ecolo : et vous, citoyens de Ciney, qu'en pensez-vous ?".

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Hommage du cdh de Ciney à Michel Barbeaux le 18 janvier

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carton.jpgLa section locale cdh de Ciney présentera ses vœux pour 2014 le samedi 18 janvier au restaurant de l’Institut de la Providence de Ciney (Rempart de la Tour) à partir de 10h30.  Elle en profitera également pour mettre à l’honneur à Michel Barbeaux, ancien sénateur et ancien échevin de la ville de Ciney. Différentes personnalités du cdh et des intervenant cinaciens prendront la parole à cette occasion. Moyennant une participation de 15 euros, les personnes présents sont invitées à un buffet dînatoire (compte BE49 3500 1168 3771, cdh Ciney) à condition de s’inscrire avant le 17 janvier auprès de Christine de Pret (22 route de Dinant à Achêne, 0476/95.57.71, chdepretroose@gmail.com)

Pour télécharger l'invitation, il suffit de cliquer sur carton.pdf

cdHCineyconf1.JPGOnt déjà annoncé leur présence 

            * Philippe Maystadt, ancien vice-premier ministre

            * Francis Delpérée, sénateur

            * Christophe Bastin, député fédéral

            * Michel Lebrun, député wallon

            * André Didier, ancien Secrétaire des Mutualités Chrétiennes de Dinant

Horaire

10h30’ : Accueil

11h00’ : Interventions

 - présentation des vœux

 - parole aux invités

 - hommage à M. Barbeaux

12h00’ : Apéritif

12h30’ : Buffet dînatoire 

« Quel intérêt d’avoir une Ferrari si on ne sait pas faire le plein ! » déclaré lors des vœux à Havelange

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DSC_0004.jpgComme d’habitude, la réception organisée par l’administration communale de Havelange s’est déroulée à l’étage du hall omnisports de Havelange en présence des membres du personnel employé et ouvrier, des enseignants, des mandataires ainsi que d’autres partenaires directs de la commune.

DSC_0001.jpgVoici, dans les grandes lignes, le discours prononcé par Nathalie Demanet, bourgmestre : «L’an dernier, c’est la première fois que j’intervenais en ces lieux. En 12 mois, je n’ai pas eu l’occasion de voir tout le monde une seconde fois. Ce moment de retrouvailles, c’est le vôtre. En un an, j’ai eu le temps de découvrir le personnel, les chiffres, les lieux, … Les finances constituent le gros problème de notre commune. Nous devons régler une note de 526.000 euros pour faire face aux dettes du passé concernant la zone de secours. Nous avons reçu l’aide du CRAC, aide conditionnée avec diverses mesures : il faut payer les charges d’emprunt, les intérêts ainsi que des pistes d’économie comme l’augmentation de l’IPP, de redevances, de certaines taxes parallèlement avec des dépenses en moins : postes non renouvelés, personnel à la retraite non remplacé, dépenses supplémentaires dans l’enseignement supprimées, aides à certaines ASBL diminuées. Nous devons trouver 356.000 euros chaque année. Nous n’avons pas le choix ! Nous devons faire une croix sur le projet de la Maison Rurale polyvalente malgré nos tentatives de revoir le projet à la baisse. Les Havelangeois ne pouvaient se le permettre. Quel intérêt d’avoir une Ferrari si nous ne sommes pas capables d’y mettre de l’essence ! Pour résumer : de la découverte, de l’étonnement, de la frustration, … vient le temps de l’action ! En 2014, nous rénoverons l’école de Jeneffe, la salle du Clavia à Flostoy renaît, une nouvelle équipe va prendre en charge la salle de Méan, le projet du SAWHIS est lancé, nous disposerons d’un terrain à Méan pour améliorer notre offre en logement, le bulletin communal sera renouvelé et les conseils consultatifs des jeunes et des aînés seront créés. Un peu moins d’argent que les années précédentes mais plus d’idées, plus d’énergie, plus d’enthousiasme, tous ces défis à relever ensemble ! »

Pour découvrir les 19 photos prises ce vendredi soir, il suffit de cliquer, à droite, sur l'album intitulé "Voeux Havelange 2014".

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Ciney et le cdh rendent hommage à Michel Barbeaux

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DSC_0006.jpgC’est en présence de mandataires cdh de l’arrondissement, de la province et de la Région, de sympathisants cdh de Ciney et des environs, de sa famille, que la section locale cdh de Ciney a rendu hommage à Michel Barbeaux et a présenté ses vœux pour 2014. L’accueil a été fait par Mutien-Marie Gilmard, président de la locale de Ciney et Gaëtan Gérard, chef de groupe de la locale et chef de file au conseil communal de Ciney avant l’hommage proprement dit à Michel Barbeaux par de nombreuses personnalités du cdh, le tout orchestré avec maestro par Laurence Daffe, conseillère communale de Ciney. Notons la présence de Guy Milcamps, l’ancien bourgmestre socialiste de Ciney avec qui le cdh et Ecolo étaient en coalition lors de la précédente législature.

DSC_0005.jpgIntervention de Mutien-Marie Gilmard sur Michel Barbeaux

«Michel, tu es une valeur sûre dans le monde politique et la communauté cinacienne a pu bénéficier de ton savoir et de ton savoir-faire, bien plus que les citoyens ne peuvent l’imaginer et quoiqu’en disent certains qui tentent de te discréditer, sans doute, parce qu’ils te redoutent. Michel, en digne fils, tu as assumé l’héritage paternel en t’engageant en politique et, corollairement, dans la vie associative. D’autres prendront la parole pour le dire mieux que moi. Permettez-moi seulement de témoigner de ce que je te dois. J’avais 14 ans, lorsque tu fus mon prédirigeant au Patro Bosco m’initiant notamment aux techniques d’orientation. Dans les années 80, nous avons participé ensemble à la fondation de l’entreprise de formation par le travail, Espaces, initiée par Michel Gengoux, Jean-Marc Loodts et le regretté Jules Warzée. Tu y succédas au président Eugène Nicolay, avant de me passer le relais. Et si je suis ici aujourd’hui, c’est parce que tu as pris ton bâton de pèlerin et qu’avec Christine, tu m’as convaincu de rejoindre la liste cdh aux élections de 2006. Au gré des collèges et conseils communaux, j’ai pu prendre conscience, si besoin en était, de la manière dont tu incarnais le sigle de notre parti, même si tu as parfois donné un sens particulier aux initiales. Le cdh est resté humaniste avec son bagage d’ouverture et de tolérance, mais le c a été aussi le signifiant de compétence, on y reviendra certainement. On peut peut-être regretter que le d résonne aussi comme discrétion, une discrétion qui t’honore mais, qui a pu, parfois, te desservir. Nous te sommes redevable de beaucoup et nous te remercions d’accepter d’éclairer encore nos lanternes sur des questions de comptes et de budget, quand ton agenda familial le permet.

DSC_0009.jpgIntervention de Mutien-Marie Gilmard sur la vie du cdh à Ciney

«C’est un  plaisir et un honneur de vous voir rassemblés à cette présentation des vœux de la section cinacienne du cdh. Pendant 6 ans, nous avons participé à la majorité pour y faire un travail de qualité. Nous avons été un partenaire loyal de partenaires loyaux. Résonne encore dans ma tête, une des premières paroles de la première intervention du bourgmestre au premier conseil communal, Guy, tu as débuté en disant : «je serai le bourgmestre de tous et non pas uniquement de ceux qui nous ont amenés au pouvoir. » C’est peut-être une évidence, mais il faut bien remarquer que ce n’est pas toujours le cas et que certains partis noyautent les institutions et associations communales et para-communales, dans les limites, toutefois, de ce que permet la loi. Nous avons œuvré pour tous et avec tous, privilégiant la qualité du service à rendre ou du travail à fournir plutôt qu’à la carte de parti des candidats. Naïveté ? Non, honnêteté. Je ne ferai par le bilan de cette législature-là. Il y aurait beaucoup trop à dire. Je me bornerai à rappeler la création du Plan de Cohésion Sociale, la dynamisation de l’association des commerçants, l’expansion de services parascolaires  et de crèches, les travaux d’entretien, voire de remise en état, des bâtiments communaux (les écoles notamment), la remise à neuf de nombreux trottoirs, la rénovation de la place Renaissance et de la place Léopold II, la gestion d’une tempête, … et un compte clôturé en boni. Désormais dans l’opposition, nous continuons à veiller aux intérêts de la population cinacienne. L’avenir ne se dessine pas en rose, de nombreux bouleversements nous attendent, de nombreux défis aussi. A vous tous je souhaite énergie et enthousiasme pour continuer à œuvrer pour un monde plus juste et plus équitable. »

DSC_0014.jpg«La ville n’est pas en faillite ! », intervention de Gaëtan Gérard

«A côté de la sante, de la joie et du bonheur à vous, à vos familles et à vos proches, je souhaiterai que, pour les Cinaciens, qu’ils puissent retrouver au plus vite leur collégiale et son célèbre clocher visible des 4 coins de notre belle commune, pour Francis, Christophe, Benoît, Stéphane et tous les autres candidats portant fièrement la bannière humaniste aux prochaines élections régionales, fédérales et européennes, je leur souhaite une belle réussite, pour Tanguy et les nombreux sympathisants de l’ARCH, les premiers travaux de la piste d’athlétisme tant attendue pour qu’ils puissent gambader et battre de nombreux records, …. A niveau de la politique intramuros, les finances communales ont fait le buzz. La nouvelle majorité libérale a continué dans le courant de 2013 à tirer à boulets bleus sur le bilan de la majorité Olivier sortante. Au printemps, il nous présente un budget légèrement en déficit pour justifier leur crédo électoral faisant de Ciney une commune aux abois. Au début de l’été, c’est un vaudeville financier auquel nous assistons. En juin, des comptes en boni, mais avec des montants oubliés. En juillet, ce sont des comptes amendés, avec, pas de chance, encore un compte à l’exercice ordinaire en boni de plus de 2 millions d’euros. Et là, pour occulter ce chiffre, cette photo de la situation comptable de la ville, le Collège, aidé par une certaine presse complaisante et peu encline à vérifier les arguments avancés, va s’amuser à une campagne de désinformation et de malhonnêteté intellectuelle. A Ciney, rien d’extraordinaire que de mélanger l’ordinaire et l’extraordinaire. Mais ce boni au compte à l’exercice ordinaire est une réalité, une vérité. Et ce n’est pas des déclarations montrant uniquement l’aspect dépense de la Ville sans le mettre en liaison avec les recettes, le patrimoine actuel de notre cité qui changeront cette réalité chiffrée. Les vérités de 2013 sont limpides :

-       non, la ville de Ciney n’est pas au bord de la faillite comme certains l’avaient annoncé dans leur élan de pessimisme et de catastrophisme

-       oui, la nouvelle majorité a hérité d’un bel héritage avec ce boni conséquent

-       oui, la dette de la ville a augmenté suite aux nombreux investissements indispensables effectués entre 2007 et 2012 notamment au niveau des routes et des trottoirs, des infrastructures scolaires et sportives, de l’hôtel de ville, … La charge de son remboursement a augmenté également mais reste sous contrôle

-       oui la situation financière de la ville comme celle de toutes les communes du Royaume est difficile, non pas due à une mauvaise gestion de la majorité précédente mais à des charges de plus en plus importantes sur le dos du niveau local (augmentation des charges de pension, des coûts des zones de police et de secours, de la perte de dividendes, …)

 D’importantes réalisations initiées depuis plusieurs années ont abouti en 2013 comme le déménagement du CPAS vers le site Bastin, un grand chantier mené à la baguette par notre chef d’orchestre Mutien-Marie Gilmard, ancien et excellent et compétent président du CPAS et la rénovation de la piscine, malgré les critiques non fondées exprimées par certains membres de l’actuelle majorité, cet outil a été complètement rénové, est très fonctionnel et connaît un important succès depuis son ouverture en juillet 2013.

Pour 2014, notre groupe continuera à développer une opposition constructive en appuyant des projets cohérents et bénéfiques pour notre population. Cette opposition se voudra également vigilante par rapport au fonctionnement de cette majorité absolue parfois peu soucieuse d’une bonne gouvernance et bien trop souvent peu respectueuse. Nous veillerons à un maintien du personnel communal en l’état en privilégiant sa formation et sa polyvalence. Nous serons également particuliers attentifs au fonctionnement de la Maison de la Citoyenneté et au bien-être de nos aînés ainsi qu’au développement d’une véritable politique centrée sur la jeunesse.

En 2013, nous avons connu au niveau de notre locale, un passage de témoin entre Didier Cornil, que je remercie pour le travail accompli et Mutien-Marie Gilmard. Un énorme travail a déjà été commencé avec son nouveau bureau et j’espère que son action basée sur le dialogue, l’humanisme et l’organisation continuera à porter ses fruits.

Je terminerai mon intervention en évoquant celui qui m’a lancé en politique, de mon ancien professeur à la FOPES durant quelques semaines : je tiens à te remercier, Michel, pour ce que tu m’as apporté depuis maintenant environ 15 ans. Si tu n’avais pas été présent, je pense que j’aurai quitté le monde politique depuis longtemps. Les valeurs et les comportements que tu as portés durant ta carrière sont ceux qui devraient animés toutes les femmes et les hommes politiques. Michel, c’est le respect de l’autre sans discrimination et des grands principes de l’humanisme, c’est la gentillesse personnifiée, c’est l’humilité, c’est l’importance de la famille. »

DSC_0017.jpgIntervention d’André Didier, ancien secrétaire des Mutualités Chrétiennes de Dinant

«C’est en tant que secrétaire de la Mutualité chrétienne de Dinant que j’ai mieux connu et apprécié les qualités de notre ami Michel. Sans vantardise, ni forfanterie, je suis un peu à l’origine de son parcours mutualiste. En effet, le conseil d’administration de la mutualité de Dinant était et est toujours actuellement composé de personnes habitant l’arrondissement. En 1986, suite au décès de Victor Dubois, administrateur et secrétaire régional de la CSC, il fallait lui trouver un remplaçant, représentant la région de Ciney. J’avais entendu parler d’un fils de Victor Barbeaux, bardé de diplômes, au profit intéressant pour notre organisation. J’en ai fait la proposition à M. Goffart, président de la Mutualité. Ce dernier n’a pas hésité. C’est ainsi que Michel fut admis au C.A. de la Mutualité de Dinant le 29 novembre 1986. En 1990, après de 45 ans de présidence, M. Goffart décide de passer le flambeau. Le poste sera ouvert aux membres du C.A. Les qualités pour exercer cette fonction étaient les suivantes : le candidat fera preuve de disponibilité, de fermeté, de diplomatie, d’esprit de synthèse, d’expérience, du sens du dialogue, de dynamisme, de représentativité, d’attention aux problèmes des gens, d’une connaissance de la région. Ces exigences, tu les as rencontrées pleinement. Après 10 ans de présidence à Dinant, tu participes à la fusion des 3 mutualités chrétiennes de la province et en deviens le président tout comme au sein de l’ANMC, Intersoc, Solinut et Mont-Godinne. Tu as œuvré au rapprochement avec le CHD de Dinant pour aboutir aujourd’hui à la création du CHU Dinant-Godinne. Cette nouvelle association assure la pérennité de soins hospitaliers dans l’arrondissement et permet de garder près de 2.000 emplois non délocalisables. L’on dit de Michel que c’est un doux, un pacifique, mais, attention, quand on s’attaque à ses fondamentaux comme l’accès aux soins pour tous, alors il se rebiffe et sait faire preuve de pugnacité et d’une rare résistance.

DSC_0019.jpgIntervention de Michel Lebrun, député wallon

«Tu avais entendu parler d’un jeune échevin à Viroinval. Grâce à toi, un réseau de permanences a été mis en place et je me suis retrouvé au cabinet d’Alfred Califice. Tu m’as conduit dans les arcanes de la vie politique nationale et régionale. Je suis devenu parlementaire. Tu as toujours défendu notre arrondissement. Tu as une personnalité discrète, attachante. Tu as joué un rôle très important comme inspecteur des finances. Ton analyse était toujours aigue et pertinente. 7 vies n’ont pas suffit ! « 

DSC_0021.jpgIntervention de Philippe Maystadt, ancien vice-premier ministre

«Nous avons été tous les deux dirigeants au Patro. C’était une expérience importante qui nous attache viscéralement à la justice sociale. Ton papa était de la Démocratie Chrétienne. Tu t’es engagé en politique, pas pour en faire ta place, tu n’en avais pas besoin en tant qu’inspecteur des finances. Tu es un homme de réflexion, un talent particulier pour préparer des dossiers, pour défendre une justice sociale pour encadrer les forces financières et économiques. Nous te devons beaucoup pour tout ton travail accompli. Tu étais mon suppléant au sénat. Ton travail était peut-être trop discret sur les dossiers. En politique, il ne suffit pas de faire bien son travail, il faut le faire savoir et très vite, parfois, sans prendre le temps de la réflexion et de risquer de tomber dans le superficiel. Michel a eu un peu de mal à faire savoir tout ce qu’il a fait. »

DSC_0025.jpgIntervention de Francis Delpérée, sénateur

 «Michel a été sénateur de 2000 à 2003, je serais tenté de dire, pauvre Michel, pauvre Sénat car la sixième réforme de l’Etat va réduire le nombre des sénateurs de 71 à 60, elle va modifier leur mode d’élection (plus d’élection directe mais une triple casquette pour des députés régionaux et communautaires) et elle va surtout réduire les attributions du nouveau Sénat : plus de contrôle politique, pas de fonction budgétaire, une fonction législative résiduelle, une fonction d’études et de conseils, bref, une chambre de réflexion, à côté d’une chambre de décision. Michel a été auparavant attaché au cabinet du Premier Ministre de 1977 à 1979, puis conseiller et chef de cabinet auprès du Premier Ministre de 1979 à 1995 (Martens et Dehaene). C’est à ce titre qu’il a procédé avec une efficacité et une humanité remarquables aux opérations de mise en place de nos administrations communautaires et régionales. Bravo Michel. Cette expérience nous sera bien utile à un moment où la 6e réforme de l’Etat réalise un nouveau transfert de compétences et de moyens. 4.000 fonctionnaires sur un peu plus de 70.000. Il faudra bien 5 ans pour réaliser des transferts de compétences, de moyens financiers, de personnels, sans oublier les questions proprement logistiques. C’est la raison pour laquelle Michel Barbeaux a repris du service auprès de Melchior Wathelet, secrétaire d’Etat aux réformes institutionnelles. Il lui revient de mener à bien cette opération délicate.

La 6e réforme de l’Etat entre très avant dans le domaine de la politique sociale : allocations familiales, médecine préventive, aides aux personnes âgées. Nous devons, dès à présent, nous mobiliser pour répondre à une première question. Voulons-nous garder un modèle social commun ? Voulons-nous assurer, tout au moins aux Wallons et aux Bruxellois, des avantages et des prestations comparables ? Nous devons aussi nous mobiliser pour répondre à une seconde question. Nous devons définir le mode de gestion qui nous paraît le plus approprié. Remettons-nous la distribution des prestations sociales à l’autorité publique régionale ? Laissons-nous aux employeurs et aux entreprises le soin de distribuer ces avantages ou conservons-nous un modèle de concertation qui a fait ses preuves depuis 1944 et qui est un des éléments fondateurs de notre histoire sociale, en même temps que l’un des fondements de la paix sociale de notre pays ? Je ne doute pas de la réponse que Michel et l’Alliance apporteront à ces questions essentielles.

Michel et moi, nous nous sommes connus par pères interposés. Albert Delpérée était l’un des artisans du système de sécurité sociale de l’après-guerre. Victor Barbeaux était l’un des militants les plus en vue du Mouvement ouvrier chrétien. Tous les deux se sont retrouvés au sein de Rénovation wallonne, ce mouvement wallon d’inspiration chrétienne. »

DSC_0027.jpgPortrait inattendu de Michel Barbeaux

En plaçant côte à côte, Michel et son épouse Rose, face à deux petites sonnettes qu’ils pouvaient faire actionner, Laurence Daffe, en donnant certains chiffres, attendait la description d’un portrait de Michel Barbeaux plutôt inédit, amusant et très apprécié par le public :

-       1983 : son entrée au conseil communal

-       5e ou 6: il est le 5e ou 6e de sa famille du fait qu’il a un frère jumeau

-       42 : sa pointure

-       4 fois : 4 enfants et 4 petits-enfants

-       50% : moitié moitié avec son épouse dans les tâches ménagères

-       16,50 mètres carrés : son bureau

-       le 1er : au lit et à la salle de bain

-       0,002 % : le nombre de fois qu’il cuisine

-       3 : 3 tartines le matin, mais maintenant, c’est 2

DSC_0035.jpgLes derniers mots pour Michel Barbeaux lui-même

«Je suis ému, très ému. Merci à vous toutes et tous d’être présents. Merci à ceux qui viennent de loin ! Je sais que je fais preuve de modestie. L’objectif d’une vie active est de réaliser un idéal de vie que ce soit un engagement au niveau du Patro, politique ou social. J’ai été heureux de vivre 30 ans de conseil communal. Je suis satisfait d’y avoir pu réaliser  des choses. Une démocratie a besoin d’une opposition pour affirmer l’utopie, comment on voit la Cité Idéale. Pour tenir en politique, il faut beaucoup de persévérance, d’abord par l’aide de son conjoint et au soutien d’une équipe. Merci à Fernand Mingeot. Le cdh est un parti gestionnaire. Il est formé par des personnes porteuses de valeurs, tant au niveau du contenu de leur politique que de leur comportement. J’ai conservé les valeurs que mon père m’a inculquées. Je suis convaincu que le cdh reviendra au pouvoir à Ciney ! »

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Avant de recevoir divers cadeaux de la section locale dont un restaurant avec son épouse à la Bergerie à Lives sur Meuse, un certain nombre de questions ont été posées aux diverses personnalités cdh présentes (Christophe Bastin, député fédéral et bourgmestre de Onhaye, tête de liste à la Région, Michel Collinge, conseiller provinciale et président d’arrondissement, Francis Delpérée, B. Dispa, bourgmestre de Gembloux, conseiller provincial et tête de liste à la chambre pour la province, Stéphane Lasseaux, conseiller communal à Florennes, conseiller provincial et suppléant à la Région, Michel Lebrun, député wallon). L’originalité (idée de Laurence Daffe), chacun disposait de cartons sur lesquels il était écrit, «pour moi », «pas pour moi » on encore un des noms des intervenants.

En cliquant, à droite, sur l'album intitulé "Hommage à Michel Barbeaux", vous découvrirez 64 photos prises ce samedi à Ciney.

LANCEMENT DES GROUPES DE TRAVAIL THÉMATIQUES à Havelange

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Appel aux Havelangeois et Havelangeoises dans le cadre de l'opération de développement rural

Le nouveau siège du CPAS de Ciney officiellement inauguré !

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DSC_0016.jpgC’est en présence des membres du conseil communal, de l’aide sociale et des anciens présidents du CPAS de Ciney ainsi que ceux, actuels de Somme-Leuze et d’Onhaye et du personnel du CPAS, que s’est déroulée, jeudi soir, l’inauguration officielle du nouveau siège du CPAS de Ciney, au 29 Rempart de la Tour. Le ministre Furlan, initialement prévu, était finalement absent. 

DSC_0018.jpgPour Jules Flahaux, président du CPAS, «quand on est président du CPAS, on ne peut qu’être heureux d’inaugurer une telle infrastructure d’autant plus que j’ai eu l’occasion de vivre pendant quelques mois l’ancienne implantation à Saint Roch. J’ai pu ainsi mesurer au début de mon mandat les difficultés que posait l’ancien hébergement. L’exiguïté des locaux rendait non seulement la vie difficile à nos usagers comme à nos agents, mais, surtout, ne répondait plus depuis des années aux critères de confidentialité inscrits dans la loi. Depuis le 5 juillet 2013, la plupart de nos services ont pris place dans ce nouveau siège moderne, fonctionnel et attrayant. Après 7 mois d’occupation et d’adaptation, la disposition des lieux engendre un travail plus serein et surtout plus professionnel.

DSC_0007.jpgL’acte d’achat de l’immeuble, précédemment utilisé par les Ets Bastin, une entreprise de négoce en électroménagers a été signé le 27 août 2008. La ville de Ciney a introduit auparavant une demande de subside à la Région wallonne d’un montant de 489.260 euros pour un achat de 1.750.000 euros. L’acquisition, les travaux, les frais d’étude représentent un décompte final de 5.120.956 euros, la Région apportant un subside de 1.200.000 euros, l’investissement se faisant sur fonds propres. Certains le trouvent trop important pour les finances de Ciney. Une petite moitié des locaux est occupée par les services du CPAS, l’autre moitié étant réservée, après un déménagement en 2014 des services communaux pour cause de rénovation interne de l’hôtel de ville, par d’autres services sociaux communaux, provinciaux ou régionaux. L’ancien bâtiment en face de 2.000 m2 est en grande partie l’objet d’une étude de faisabilité du BEP pour une transformation en appartements sociaux de 2 à 3 chambres.

DSC_0011.jpgCiney est une ville sociale, attentive à ses citoyens démunis ou accidentés dans leur parcours de vie, à ses citoyens jeunes ou plus âgés. Par un travail de chaque jour, nous contrôlons toutes les demandes d’aide aux Cinaciens, nous écoutons et répondons à l’extrême urgence quémandée par des non-Cinaciens, comme la loi nous y oblige. Il est toutefois fréquent que des secours ont été déclinés par d’autres CPAS, par d’autres communes. Le diagnostic n’est pas toujours facile mais cette situation est réellement inquiétante. Selon un rapport fin 2013 de Belfius, avec ses 18 services, le CPAS de Ciney est le champion en région wallonne dans son cluster où la moyenne tourne autour de 12,4 services. Pouvons-nous maintenir ce cap en 2015, malgré les énormes transferts de charge sur l’échelon local ? La double responsabilité que m’ont invité à prendre le bourgmestre et les échevins début 2013, à savoir, les affaires sociales de la ville et la présidence du CPAS, est récompensée par les synergies voulues et croissantes entre le pouvoir communal et le conseil de l’aide sociale, soutenues activement par les deux directeurs généraux responsables de leur administration. Ciney, une véritable ville sociale, ne souhaite pas supprimer des services de son action altruiste, à la condition que tout un chacun, travailleur ou décideur, y compris au CPAS, fasse preuve d’esprit d’initiative, de créativité, de flexibilité, pour organiser différemment, d’une façon moins coûteuse, les services de qualité requis à notre population. »

En cliquant, à droite, sur l'album intitulé "Inauguration CPAS Ciney", vous découvrirez les 29 photos prises jeudi soir.

Ecolo Ciney fête la Saint Valentrain : naveteurs, cheminots: vous ne comptez pas pour des cacahuètes !

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DSC_0013.JPGEn ce jour de la Saint Valentin, dès 5h45 jusqu’à 8h et en fin de journée et 16h45 à 19h, des membres des locales ECOLO de Ciney, Havelange et Hamois, en présence notamment de Patrick Dupriez, Président du Parlement wallon, ainsi que d'Anne-Marie  Camus et François Bouchat, conseillers ECOLO à Ciney ont remercié les navetteurs pour leur choix en faveur de la planète, à la gare de Ciney et à Haversin de 6h55 à 7h30.

La Saint-Valentrain rassemble, chaque année, élus et militants Ecolo, aux abords des gares de Wallonie et de Bruxelles, afin d’aller à la rencontre des amoureux des transports en commun et de leur offrir un petit cadeau en guise de remerciement.

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Cette année, pour remercier les navetteurs, Ecolo as distribué ses propositions pour améliorer le quotidien des navetteurs et des cheminots ainsi que quelques cacahuètes : « pour Ecolo, les usagers des transports publics doivent pouvoir compter sur un service de qualité or la réalité du rail aujourd’hui donne l’impression qu’ils comptent pour des cacahuètes. Malgré les efforts du personnel, prendre le train reste cependant souvent difficile : retards réguliers, trains bondés ou supprimés, correspondances ratées, fermeture de gares, surtaxes sur les billets... Et le nouveau plan de transport risque bien dès la fin de l'année de compliquer la vie des voyageurs sur de nombreuses lignes. Au niveau des points d’arrêts non gardés, là où les navetteurs attendent leur train, la situation n’est guère meilleure comme l’a récemment rappelé l’association des navetteurs, navetteurs.be : absences de bancs, vétusté, tags, saleté.... Ecolo sera attentif à ce que les moyens promis soient réellement investis pour restaurer ces lieux. Plus globalement Ecolo propose pour garantir un service correct à chacun : 

- d’augmenter l’offre de trains pour assurer à chacun une place assise ;

- d’améliorer la ponctualité sans allonger les temps de parcours;

- de garantir le maintien des lignes en milieu rural;

- d’assurer des conditions de travail qui garantissent la sécurité et la ponctualité. »

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30 millions d’euros pour rouvrir la ligne Dinant-Givet ?

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130 personnes à l’écoute du Suisse Markus Rieder à Dinant


Patrick Dupriez, président du Parlement wallon, en visite à l'école provinciale de Ciney

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DSC_0603.JPGPoursuivant ses visites un peu partout en Wallonie, en Belgique et hors de notre pays, Patrick Dupriez, président du Parlement wallon, était ce vendredi matin en visite dans sa commune, Ciney, et plus précisément à l’école provinciale Saint Quentin, d’abord dans l’implantation de la Haute Ecole d’agronomie et ensuite dans l’implantation de l’EPASC, l’école secondaire d’agronomie et des sciences. Seul regret, qu’aucun parlementaire qu’une collègue Ecolo l’ait accompagné, supprimant, de facto, l’échange et la discussion à l’occasion d’un débat avec des étudiants et des enseignants de l’institution provinciale en présence de parlementaires de tout bord.

DSC_0606.JPGJacques Warnier, directeur de l’EPASC, a présenté l’école secondaire provinciale. D’abord, quelques chiffres : 734 élèves au 1er octobre 2013, 10,8 % d’augmentation entre 2006 et 2012, 13,2 % de filles, 50,5 % d’internes (tous les internats de la région sont saturés : Saint Joseph avec  19 filles sur 70 internes, l’athénée royal de Ciney avec 60 de St Quentin sur 70 internes, et plus de 50 à Herbuchenne, en dehors du propre internat de l’école provinciale), 31,1% d’enfants d’agriculteurs, 54,6 % originaires de la province de Namur, 153 membres du personnel, 1.135 repas servis dont 380 à midi, 6.100 m2 de parcelles horticoles, 256 m2 de serres chaudes, 3.200 m2 d’ateliers, 6 laboratoires de sciences, … Concernant l’exploitation agricole présente sur le site de l’école provinciale : 135 ha, 51,7 % de prairie, 3,62 ha de cultures bio, 4,3 % d’essais et de démonstrations, 30 vaches allaitantes, 60 vaches laitières, 30 ovins en production bio, 3.000 volailles engraissées par an en bio, 5 ouvriers qualifiés. Concernant le pôle fromager (les chiffres 2013 doivent être équivalents) : 55 agriculteurs encadrés en 2010 (500 depuis 2006), 68 formations en 2010, 709 assistances technologiques, 110.000 litres de lait transformés par 2 techniciens sur place. On a peut apprendre également que l’école était agréée pour la formation pratique pour l’obtention du permis tracteur et qu’elle gérait les 2 réserves naturelles situées sur le territoire de la commune de Ciney. Concernant les nouveautés et les projets, on a appris que des abeilles allaient être introduites et que la construction d’un nouvel internant et une adaptation du restaurant étaient envisagées.

DSC_0607.JPGEmmanuel Devroye, directeur de l’HEPN, présenta ensuite la haute école de la province de Namur, bachelier en agronomie. Quelques chiffres : 27 diplômés 2012-2013 dont 10 en agro-industries et biotechnologies, 7 en environnement et 10 en techniques et gestion agricoles, 53 inscrits en première année dont 48 ont passé les examens et 27 ont échoués. Pour l’année académique 2013-2014, l’HEPN compte 125 étudiants dont 48 filles et 21 issus de l’EPASC. Parmi les projets de la haute école, citons l’ouverture de la spécialisation en agriculture biologique, ce qui constituerait une première en Wallonie et la construction de bâtiments pour le BAC Agro entre le Mont Blanc et le chemin d’Aljoux.

La matinée s’est achevée par la découverte des travaux d’aménagement des nouveaux bâtiments du Pôle Fromager qui devrait être inaugurés au courant du mois de main prochain.

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Le Collège Communal de Ciney prêt à sacrifier le commerce du centre-ville

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Ecolo Ciney s’oppose à l’implantation d’un centre commercial en périphérie, sur le zoning de Lienne

9 communes du Condroz namurois et liégeois réunies à Hamois pour évoquer les dynamiques locales des aînés

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DSC_0001.JPGCe mardi matin, à l’initiative de l’équipe Condroz de la Fondation Rurale de Wallonie, une rencontre et un échange entre communes sur les dynamiques locales envers les aînés s’est déroulée dans les locaux de l’OCTC de Hamois. Cette commune avait été choisie vu qu’elle s’est dotée depuis 2007 d’un Conseil Communal Consultatif des Aînés, dont des membres ont pu témoigner de leur expérience.

Le vieillissement de la population va en croissant. Ce qui pose des problèmes financiers, des conséquences en terme de la mobilité er de la gestion de l’espace. Pour la FRW, les communes rurales ne sont pas outillées au niveau des services, du logement, de l’accès à des logements adaptés, à la fracture numérique des aînés, à une mobilité adaptée et à une évolution économique en expansion pour les nouveaux retraités.

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Etaient présents ce mardi matin à l’OCTC de Hamois :

-       pour Hamois : Françoise Dawance, échevine, Michel Hubert, président du CCCA, Gilbert Cellier et André Fortemaison, membres

-       pour Havelange : Annick Duchêne, présidente CPAS et Vinciane Baudouin, future animatrice CCCA

-       pour Ohey : Dany Dubois, présidente CPAS et Françoise Ropson, chargée du Groupe de Travail des Aînés

-       pour Modave : Suzanne de la Haye, présidente CCCA

-       pour Clavier : Isabelle Garroy, animatrice CCCA

-       pour Tinlot : Karin Borremas, chargée de la mise en place d’une commission des aînés

-       pour Comblain-au-Pont : Frédéric Tollet

-       pour Ferrières : Laure Palange, présidente CPAS, dynamique des aînés en construction

-       pour Assesse : Véronique Cornette, CAIAC et Philippe Stevaux, présidente CCCA

Expériences concrètes et constatations

-       maison d’accueil communautaire à Assesse

-       service d’aide au transport à Ohey

-       maison de la mémoire à Ohey et Hamois

-       bénévoles pour un service de santé à Havelange

-       difficulté de parler des aînés d’une seule manière : entre 3x20, 4x20, les papys, les mamys, les jeunes retraités, …

-       nécessité de construire des projets les plus adaptés aux aînés

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Balises légales d’un C.C.C.A.

Selon le décret Furlan, il doit se préoccuper des enjeux des aînés, participation, formation, rencontres, dialogues intergénérationnels, … La composition d’un Conseil Communal Consultatif des Aînés doit obéir à des différents critères dont :

-       55 ans au minimum

-       10 à 15 aînés

-       représentation équilibrée des quartiers de la ville ou des villages de la commune

-       deux tiers du même sexe

-       réunions au minimum de 4 fois par an

-       commissions thématiques

-       rapport annuel, …

DSC_0004.JPGUn exemple, le Conseil Communal Consultatif des Aînés de Hamois

-       créé en 2007

-       4 commissions créées : culturelle et intergénérationnelle, nouvelles technologies, aide aux personnes et développement rural

-       le CCCA doit être différent d’un super groupe de 3 x 20, ce n’est pas son rôle

-       il peut servir de relais avec l’administration communale comme ce fut le cas lors de problèmes vécus par des paroissiens d’Achet pour accéder plus facilement à l’église

Quelques pistes pêle-mêle

-       il faut rendre confiance aux personnes âgées

-       les aînés ne se mobilisent plus, ils ne vont pas voter, …

-       certains aînés n’acceptent pas de se retrouver au sein d’un conseil où ils ne sentent pas assez vieux

-       les vieux aînés disent que l’on ne fait rien pour eux, mais ne répondent pas aux courriers, aux réunions, aux conférences, aux débats

-       il faut s’adapter à son réseau local

-       les jeunes aînés d’aujourd’hui seront les vieux aînés de demain

-       on ne peut pas avoir le même message pour tous les aînés

-       les nouveaux retraités sont encore très actifs et n’ont pas besoin d’un C.C.C.A.

-       les personnes plus âgées ne souhaitent plus sortir de chez elles, mais demandent une présence ou des visites chez elles. Il faut donc favoriser la solidarité de quartier

Interdiction de porte-à-porte pour Arc-en-Ciel à Ciney, le cdh interpelle !

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Unknown-1.jpegLors du dernier conseil communal, le CDH (par la voix de Laurence Daffe) a interpelé les membres de la majorité au sujet de l’interdiction qu’ils ont  imposée aux mouvements de jeunesse de Ciney de pratiquer  le traditionnel porte- à- porte en vue de récolter des vivres pour l’opération Arc-en-Ciel.

La conseillère a rappelé que cette opération existait en Belgique depuis 60ans (à Ciney depuis 36 ans), que son fonctionnement était irréprochable, et qu’une partie non négligeable de la récolte était attribuée aux enfants de l’institution cinacienne Dunes et Bruyères.  ‘Il est plus facile de leur remettre un chèque et de se faire photographier par la presse locale’ a- t-elle ajouté.

Unknown-2.jpegElle a ensuite interrogé sur les motifs de ce refus.  Lassitude ? ‘ Une partie de la  population cinacienne est peut-être lassée par le porte-à –poret’, dit-elle, ‘ faut-il pour autant ignorer l’autre partie de la population qui attendait le passage des enfants’ ?  Sécurité ?’ Il faudrait alors interdire la démarche à d’autres, et notamment aux politiciens !!!’

Elle a enfin fait remarquer que cette action  était un exemple de l’intergénérationnel (qu’essaie de mettre en place la majorité elle-même !), et de la citoyenneté solidaire qu’essaient de développer les éducateurs.  

Elle a clôturé son intervention en déplorant le fait que Ciney perdait petit à petit son statut de ville accueillante. 

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Le gouvernement fédéral valide la construction d’un nouveau Palais de Justice à Dinant

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Illu-Palais8.jpgLa Ville de Dinant vient d’apprendre avec joie ce vendredi la décision du gouvernement fédéral de valider la construction d’un nouveau complexe destiné à accueillir la Justice et les Finances à Bouvignes-Dinant. Une décision qui met un terme à de longues années de procédure.

Les autorités dinantaises saluent la décision du gouvernement fédéral et remercient la Régie des Bâtiments, qui n’a eu de cesse de gérer ce dossier dans des conditions difficiles, ainsi que les parlementaires régionaux qui se sont impliqués dans ce dossier.

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« La construction de ce nouveau complexe constitue une pièce maitresse dans le redéploiement des activités publiques présentes sur le territoire de la ville de Dinant », se réjouit le bourgmestre de Dinant Richard Fournaux. « Ces nouveaux bâtiments permettront d’améliorer considérablement les conditions de travail du personnel employé dans les services de la Justice et des Finances et également d’assurer un bien meilleur service aux citoyens de l’arrondissement Dinant-Philippeville. »

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Cette décision valide par conséquent le projet urbanistique réalisé par la Régie des Bâtiments et les cabinets d’architecture AUPA, CERAU et l’Atelier d’architecture de Genval. Un projet qui ajoutera une plus-value incontestable au paysage urbanistique dinantais.

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Suite à cette décision, les autorités dinantaises vont pouvoir entamer avec la Régie des Bâtiments les discussions concernant le bâtiment qui abrite aujourd’hui le Palais de Justice

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